Un googler est jeune adulte sans famille et sans amis
Le mode de recrutement chez Google fait la part belle à la jeunesse. Depuis le début, les fondateurs de Google ont recherché un maximum de diversité. Toutes les nationalités ou presque sont représentées chez les googlers. Par contre, le profil en âge et en situation familliale semble verrouillé. Moins de 30 ans et sans famille. Voici la règle implicite. Google s'occupe de tout (de la nourriture gratuite au massage...) et même de vous trouver des amis. Déracinés, les googlers se lient rapidement entre eux et vivent en vase clos. Les nooglers, les nouveaux employés passent un léger bizutage pour montrer leur esprit potache. Un système de parrainnage leur fournit leur premier pôte. Un job de rêve peut toujours tourner au cauchemard.
Mais, en fait, ce modèle demande à chacun de se donner à fond pendant ses premières années dans la vie active pour réussir. Et gagner un bon salaire.
Une organisation du travail sans hiérarchie visible
L'absence de hiérarchie visible est le second ingrédient de l'utopie d'entreprise de Google. Récruté par vos futurs collègues, ce sont eux qui vont juger votre travail. Quelle source de motivation plus habile qu'une saine concurrence entre collègues. Très vite, le googler est responsable de son activité. Il peut toujours compter sur les autres mais ne compte pas ses heures. C'est ainsi que Google avait gagné le palmarès 2008 des "Best Workplaces France" (mais n'apparaît plus en 2009...) et obtient un 9.2 sur notetonemprise.com (un peu dictatorial !).
Toujours envie de travailler chez Google ?
L'envie de travailler chez Google est plus forte. Les offres d'emploi chez Google sont en ligne. Les chiffres fusent. 10 recrutements par jour, 200 par mois, 500 personnes qui s'en occupent... mais jusqu'à un million de candidatures par an. Mince, les autres ont voulu faire comme vous.
Voici dix raisons de travailler chez Google.
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